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INFO IMMO

§ Où acheter une maison à prix abordable

Vous rêvez de devenir propriétaire d’une maison avec un — petit – terrain, mais avec la hausse des taux et l’inflation, vous ne trouvez aucun bien immobilier dans votre budget ? Et si vous vous tourniez vers de nouveaux horizons ? Certaines communes proposent encore des logements à prix attractifs. Rassurez-vous, l’idée n’est pas de devenir éleveur de chèvres au fin fond de la France. Les communes visées comptent toutes plus de 20 000 âmes et cochent de nombreux critères qui en font des endroits où il fait bon vivre : services de proximité, taux d’emploi élevé, vie culturelle riche, coût de la vie faible, zones vertes, sécurité… Où se situent ces perles rares ? Chaumont dans la préfecture de la Haute-Marne arrive en tête, suivie de Haguenau dans le Bas-Rhin, et d’Épernay dans la Marne. Un podium 100 % Grand Est ! Pour acheter une maison de 85 à 120 m2 pour environ 200 000 € tout en bénéficiant d’une bonne qualité de vie, direction Niort, La Roche-sur-Yon, Blois, Cholet. Retrouvez l’intégralité du classement dans cet article. Il ne reste plus qu’à réorienter vos recherches.

§ Dur dur d’obtenir un prêt relais !

Vous avez l’intention d’acheter un nouveau logement mais n’avez pas encore vendu le vôtre ? Comme bon nombre de Français dans votre cas, vous pensez avoir recours au prêt relais. Encore faut-il l’obtenir ? Les banques sont en effet de plus en plus frileuses lorsqu’il s’agit d’octroyer ce crédit passerelle. Avec la remontée des taux d’intérêt et l’allongement des délais de vente, le prêt relais coûte de plus en plus cher aux ménages, dépassant souvent la capacité maximale d’endettement autorisée. Certains, pris entre deux feux, sont même contraints de baisser leur prix de vente lorsque l’échéance du prêt relais approche. Pour obtenir ce financement dans les meilleures conditions, l’idéal est de présenter un compromis de vente signé par l’acheteur au banquier, avec levée de la condition suspensive d’obtention d’un prêt. À noter que certaines banques en font une condition sine qua non.

§ MaPrimeRénov’ Sérénité augmente sa prise en charge

Bonne nouvelle pour ceux qui souhaitent améliorer l’étiquette énergétique de leur logement, mais dispose d’un budget – très – serré ! Depuis le 1er octobre 2023, les aides versées dans le cadre de MaPrimeRénov’ Sérénité, un dispositif destiné à donner un coup de pouce aux propriétaires occupants aux revenus modestes ou très modestes, ont augmenté. Désormais, la prise en charge peut atteindre jusqu’à 65 % (contre 50 % auparavant). De quoi alléger une facture salée, qui se chiffre souvent en dizaine de milliers d’euros. Pour prétendre à cette aide, vous devez remplir plusieurs conditions : ne pas dépasser un certain plafond de revenus et réaliser des travaux de rénovation globale afin d’obtenir un gain énergétique de 35 % dans les 3 ans suivant la décision d’accord de l’aide. Vous l’avez compris, on parle de travaux ambitieux. Il ne s’agit pas uniquement d’installer du double ou triple vitrage. Avec ce nouveau coup de pouce aux ménages, l’État espère atteindre son objectif de 200 000 rénovations performantes d’ici 2024, soit près de trois fois plus qu’en 2022.

§ Ces logements construits sur des sites inondables

Située au confluent de la Seine et de la Marne, la commune de Vitry-sur-Seine est fortement exposée aux risques d’inondations. Pourtant, les logements continuent de sortir de terre. Dès l’été 2024, vous pourrez acheter l’un des 900 nouveaux logements neufs construits sur l’ancien site industriel des Ardoines, inondable à près de 90 %. Mais ce n’est pas tout ! À terme, c’est l’un des plus grands projets d’aménagements d’Île-de-France qui verra le jour sur ce site. L’aménageur Grand Paris Aménagement a en effet prévu de bâtir un collège, 5 écoles, des logements, des bureaux, des commerces, et même la future ligne 15 du Grand Paris Express. Que les futurs habitants se rassurent, ils ne devront pas troquer leurs baskets contre des bottes en caoutchouc. Les risques d’inondation ont été pris en compte lors de la conception du projet. Pour que les eaux puissent s’évacuer facilement en cas de crue, l’emprise au sol a été limitée à 50 %. Des bassins tampons permettront de récupérer les eaux, et de nombreux programmes immobiliers ont été surélevés de 5 mètres pour que les occupants ne doivent pas plier bagage en cas de crue. Dans la même veine, aucun logement ne se trouvera au rez-de-chaussée. Un projet ingénieux et ambitieux qui a un coût : plus de 300 millions d’euros.

§ 154 communes passent en zone tendue

La carte des zonages fait peau neuve. Au total, 209 communes changent de zone : 154 intègrent la zone tendue (A, Abis et B1) et les 55 autres passent d’un zonage B1 à un zonage A. Ce redécoupage a pour objectif d’endiguer la crise du logement actuelle en permettant à davantage de ménages de se loger. Suite à ce reclassement, les communes concernées pourront accueillir des logements locatifs intermédiaires (LLI), des logements dont les loyers sont inférieurs à ceux du marché. Les nouveaux acquéreurs pourront quant à eux bénéficier du prêt à taux zéro. Quant aux bailleurs, ils pourront obtenir d’importantes réductions fiscales en louant en Pinel ou en profitant du dispositif Loc’Avantages. Ces dispositifs sont également avantageux pour les locataires aux ressources limitées puisqu’ils garantissent des loyers plafonnés. Parmi ces communes reclassées, on trouve notamment Arras, Besançon, Gap, Colmar, Troyes, Le Mans, Vannes, Lorient, Perros-Guirec ou encore Brest. Publié le 3 octobre dernier, l’arrêté est entré en vigueur le 4. Retrouvez l’ensemble des communes dont le classement évolue dans cet article.

§ Le boom du béton bas carbone

La décarbonation de la construction représente un enjeu majeur pour atteindre la neutralité climatique d’ici 2050. Le béton classique tire progressivement sa révérence au profit d’alternatives moins polluantes. Parmi celles-ci, le béton bas carbone. Pour respecter les nouvelles exigences fixées par la RE2020, de plus en plus de promoteurs et constructeurs se tournent vers ces produits émettant moins de CO2. C’est le cas de Nexity qui prescrit dans son cahier des charges l’utilisation des bétons bas carbone ECOPact de Lafarge, des bétons dont les émissions de COsont 30 à 70 % inférieures à celles du béton classique. VINCI Construction promeut également le béton bas carbone et ambitionne de tripler son utilisation d’ici 2030, le faisant passer de 30 à 90 %. Aujourd’hui, les produits bas carbone représentent 10 % des ventes de béton. C’est 5 à 10 fois plus qu’il y a deux ans !

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